samedi, décembre 16, 2017
Bilan de santé
Je vais bien.
Merci.
PS: pourtant, je me fais du mauvais sang.
Mes journées extraordinaires se font de plus en plus rares.
Cette année 2017 fut l'année la plus courte de ce Blog.
Et pour cause,
Facebook, et quelques autres, auront eu raison de mes ardeurs de fouineur.
De ma furieuse envie de pointer, par le biais de ces pages, les découvertes du jour qui ont fait trembler mes oreilles. Puisqu'elles tremblent encore.
Les réseaux, et de ce fait, tous mes amis (virtuels ou non), partagent désormais la moindre note de musique, inconnue, ou populaire, pourvu qu'elle ait du sens, un certain sens, à l'instant T.
Et c'est très bien.
C'est donc devenu un sport co.
Qui se joue bien plus vite, sans faire de détail.
J'ai préféré, cette année, rater quelques matchs pour me concentrer sur les plus belles rencontres.
Plus rares, mais intenses.
Voilà la compilation des équipes méritantes, à mes yeux, qui,
si elles ne jouent pas toutes en ligue 1, auront su créer la surprise.
Voire l'exploit!
A vous de juger.
Et, pourquoi pas,
partager.
vendredi, décembre 15, 2017
l'idole d'un jeune
Il y a 15 ans aujourd'hui
tu décidais de t'endormir,
fratello mio,
d'un sommeil profond.
15 ans, c'est même pas l'âge que nous avions ce jour de 1972
où nous avons acheté notre premier 45 tour.
En fait, offert par le tonton parisien, de passage dans notre chère vallée.
Nous n'avions pas vraiment d'idée quant au choix de ce premier disque,
alors nous sommes restés longtemps devant le rayon "variétés" du grand Prisunic.
Et puis toi, le premier, a posé la main sur Bo Diddley, sans connaitre le titre,
mais parce que: Bo Diddley,
parce que: guitare,
parce que: rock,
parce que: américain,
bref,
parce qu'à 13 ans le rêve commençait là.
Et puis moi, plus hésitant, car moins affirmé dans mes goûts (12 ans), je décidais d'embarquer Johnny Halliday, sans connaître le titre, non plus,
mais sans doute parce que le moins pire de cette variété de l'époque, qui remplissait les rayons,
et qui ne nous emmenait pas bien loin.
Et puis Bo Diddley était le seul à sortir du lot, et tu l'avais déniché.
Avant moi.
Plus rapide.
Comme toujours.
Bo Diddley nous a quitté en 2008,
il aura vécu plus longtemps que toi.
Et dieu sait si tu m'as appris à aimer cet homme là,
mais j'aurais souhaité le contraire.
L'idole des jeunes nous a quitté il y a quelques jours.
Je lui aurai survécu.
Sur ce premier disque il chantait "sauvez-moi".
C'et toi que j'aurais voulu sauver.
Mais le sort en a voulu autrement.
Nous étions jeunes, mais c'était toi mon idole.
Comme toutes nos idoles,
tu restes immortel.
Alors je t'embrasse,
fratello mio.
tu décidais de t'endormir,
fratello mio,
d'un sommeil profond.
15 ans, c'est même pas l'âge que nous avions ce jour de 1972
où nous avons acheté notre premier 45 tour.
En fait, offert par le tonton parisien, de passage dans notre chère vallée.
Nous n'avions pas vraiment d'idée quant au choix de ce premier disque,
alors nous sommes restés longtemps devant le rayon "variétés" du grand Prisunic.
Et puis toi, le premier, a posé la main sur Bo Diddley, sans connaitre le titre,
mais parce que: Bo Diddley,
parce que: guitare,
parce que: rock,
parce que: américain,
bref,
parce qu'à 13 ans le rêve commençait là.
Et puis moi, plus hésitant, car moins affirmé dans mes goûts (12 ans), je décidais d'embarquer Johnny Halliday, sans connaître le titre, non plus,
mais sans doute parce que le moins pire de cette variété de l'époque, qui remplissait les rayons,
et qui ne nous emmenait pas bien loin.
Et puis Bo Diddley était le seul à sortir du lot, et tu l'avais déniché.
Avant moi.
Plus rapide.
Comme toujours.
Bo Diddley nous a quitté en 2008,
il aura vécu plus longtemps que toi.
Et dieu sait si tu m'as appris à aimer cet homme là,
mais j'aurais souhaité le contraire.
L'idole des jeunes nous a quitté il y a quelques jours.
Je lui aurai survécu.
Sur ce premier disque il chantait "sauvez-moi".
C'et toi que j'aurais voulu sauver.
Mais le sort en a voulu autrement.
Nous étions jeunes, mais c'était toi mon idole.
Comme toutes nos idoles,
tu restes immortel.
Alors je t'embrasse,
fratello mio.
mardi, décembre 12, 2017
Bad Company
Sont originaires de Bath (Angleterre, sud ouest).
Ewan Merrett (claviers, chant), Callum Merrett (chant),
(je soupçonne un lien de parenté)
Charlie Pitt (basse), Sam Hunt (guitare) et, last but not least, Olivia Dimery (drums).
Leur nom: Bad Sounds.
Ce titre, Avalanche, a quelques heures de vol,
certes,
mais je découvre,
alors je m'informe:
Si vous avez aimé Beck quand il essayait d'être Prince et si vous aimez la musique dance des années 70 avec une production des années 80 et un gros cul baggy des années 90, alors vous allez adorer Bad Sounds (The Gardian)
Ouais.
C'est ça.
Et c'est sans doute pour toutes ces bonnes raisons
que cette petite scie deviendra vite virale dans mon quartier,
puisqu'elle intègre, désormais, chacune de mes playlists de la Saint Sylvestre.
Comment faire autrement.
Bad sounds
Good vibes
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