jeudi, septembre 27, 2012

Set gagnant


Le duo Tennis a eu la riche idée d'ajouter à son répertoire une reprise du célèbre combo New-yorkais Television, du non moins célèbre Tom Verlaine: Guiding Light.
Et plutôt avec goût.

Tennis, Television...Attention, Nelson Monfort n'est pas loin. Au secours!

samedi, septembre 22, 2012

Viva!

C'est le week-end.
Il s'agirait de se détendre un peu.
La parodie du clip égocentrique de the Verve ("Bitter sweet symphonie") par le Mexican Institute of Sound:
Sinfonia Agridulcele.
Cool.

mardi, septembre 18, 2012

le grand amour

Big love. En effet. Cet ours, Matthew E. White, venu d'on ne sait où, débarque en ville avec un savoir faire (et donc, un album) à faire pâlir d'envie ceux qui depuis des lustres s'escriment à dépoussiérer l'ennuyeux paysage musical actuel, avec de vieilles recettes qui ne trompent personne. De l'esbroufe.  Lui a trouvé la recette. Le graal. La pierre philosophale. L'alambic dans lequel tout ce qu'on croyait connaître se révèle, mélangé avec ce "je ne sais quoi" d'habileté, brillant comme un saphir! A parier qu'on en reparlera bientôt. D'ici là, pour manifester notre sympathie, laissons-nous pousser la barbe. La moustache c'est déjà fait.




lundi, septembre 17, 2012

Caliente!



Originaires de l'Arizona, Joey Burns et John Convertino, membres fondateurs de Giant Sands, il y a quelques années, affinent le  tir avec Calexico, du nom de cette ville de californie du sud, bordant la frontière mexicaine. Entre musique planante (hum) et mariachis, dixit wikipedia. Soit. Mais c'est un peu court. Tant cette musique est riche en nuances, détours et traditions bousculées, mixés à cette culture nord américaine faite de guitares et de chants réverbérés, qui taquine les années 50 (quand elles se voulaient langoureuses, avec ces mélodies suaves au bord du grand frisson).
Le duo magique nous revient avec un nouvel album. Et un premier titre en écoute: Para. Qui nous emmène vers d'autres contrées, bien que la trompette au final nous rappelle que la frontière n'est jamais loin.  Un nouveau registre quelque peu surprenant, car emprunt de mélancolie, voire d'un certain sens du drame. Qui pourrait bien en faire chavirer plus d'un. Moi c'est fait.


vendredi, septembre 07, 2012

Stupide et dangereux

Si vous pensiez que les Black Lips étaient médaille d'or aux J.O. des petits branleurs, catégorie Funtime, cheap beers, et big sound, voici ceux qui pourraient bien leur filer un sacré coup de vieux, voire les pousser hors de piste:
Fidlar. "C'est l'acronyme de "F*** it Dog life's A risk", une expression qui vient tout droit des rues de L.A. C'est ce qu'on dit là-bas juste avant de faire un truc vraiment stupide et dangereux".
Des hymnes à cuver dans le caniveau, un son crade comme on l' aime, c'est à dire approximatif mais toujours de bon goût, radical, urgent, et donc méchamment efficace.
Qu'on se rassure, les Black Lips ne croiseront pas le fer avec ces gars là. Mais ils pourraient bien monter dans le même bus. Nous les attendons de pied ferme. Une bière à la main.