lundi, mars 21, 2016

Aussies



Ils sont formidables.
Ils nous viennent d'Australie.
Tout comme the Go-Betweens,
ou The Easybeats,
à qui la presse spécialisée les compare
(du moins, elle les situe entre la pop des uns et l'énergie des autres).
J' ai même lu qu'ils pratiquaient un genre de soft punk.
C'est vous dire si je suis capable de perdre du temps, et lire des pavés de sottises pour alimenter ce blog,

Ils se nomment Rolling Blackouts Coastal Fever,
et ils posent parfois leurs amplis (ici un VoxAC30, rendez-vous compte...) sur la branche d'un arbre.

Sinon,
j'aime bien.

mercredi, mars 02, 2016

Johnny sois bon















Il ne suffit pas d'avoir fréquenté The Libertines,
de posséder le 06 de Kirsten Dunst,
ou de taquiner les charts Anglais avec son (dispensable) groupe The Razorlight,
pour faire de Johnny Borrell l'homme à suivre.
Bien au contraire.
De bonnes raisons de nous en méfier plutôt.
Mais l'homme est tenace.
Et change de braquet avec une aisance déconcertante,
Puisque, dans une échappée en solo, il crée la surprise,
dépasse ses adversaires,
et emporte l'étape du jour.

Il parvient à m'exciter
les muscles antérieurs droits de chaque jambe,
en un seul titre,
Black God,
quand d'autres, à longueur d'albums, me font tout juste bailler, et ceci depuis des mois.
Il y a de l'arrogance, et du panache chez cet homme là.
et un "je ne sais quoi" de Mike Scott (The Waterboys) dans le lyrisme de l'entreprise.
Et ça n'est pas pour me déplaire.
Je crois même que ça me plaît.