jeudi, août 28, 2008
Route 66
Certaines cartes postales méritent d'être partagées. Celle-ci, envoyée par notre ami Philippe (qui arrose régulièrement ce blog de ses commentaires pertinents...), nous vient directement d'un pays peuplé d'étranges individus, qui montent d'étranges animaux, et qui s'apprête à élire à sa tête un homme de couleur (mon dieu!). Heureux qui, comme Philippe, a fait un beau voyage.
lundi, août 25, 2008
musique à bouche
RENTREE CLASSE
Donc, en principe, tout le monde est là. Certains le teint hâlé, d'autres déjà épuisés, d'autres encore, ravis qu'on n'en parle plus, puisqu'ils ne sont pas parti. Et qu'il a plu. Souvent. Du moins de ce côté-ci de l'équateur.
Dans le registre tu ne devineras jamais, catégorie : anecdotes de vacances, quelqu'un de proche (genre mon frère, par exemple) me rapportait d'une visite au MoMA (Museum of Modern Art) de New-York (c'est sûr ça fait mieux dans une phrase, le MoMA de New-York, que le Franprix de Montigny...c'est pas pour faire l'intéressant, c'est que les anecdotes, comme les expos, sont rares à Franprix, sinon nous n'hésiterions pas un instant, pour nos congés...) un cliché, au détour d'une expo de Bernd & Hilla Becher (connus pour leur travail d'inventaires des bâtiments industriels en Europe et aux Etats Unis) représentant une vue de la vallée de la Fensh. Précisément les Hauts-fourneaux de Knutange. Mon père, comme mes grands-pères y ont bossé toute leur vie. Moi, j'y ai joué au foot (à l'époque où le cliché des Becher a été pris, c'est vous dire l'ambiance...), au sein du Football Union Club de Knutange, le F.U.C.K., mais c'est une autre histoire...Donc une photo de ma vallée chérie au MoMA de New-York...Je ne connais pas de le directeur d'expo de ce prestigieux musée, mais s'il devait lire ce blog, qu'il sache que, pour ses prochaines vacances, il sera le bienvenu à Knutange, où il reste, malgré la crise, quelques sites industriels. Certains crachent encore le feu. Maintenant s'il préfère le Franprix de Montigny...
samedi, août 02, 2008
rock'n roll animal
Que penser d'un groupe comme Alister, dont le chanteur écrit des textes à la fois drôles (un côté Dutronc, pas désagréable) et incisifs (un côté tranchant, pas courant), qui enregistre des making off hilarants (myspace), écrit dans une autre vie les scénarii pour la minute blonde (canal), qui téléporte ses mélodies (produites par le fils de Ian Dury...Baxter) jusqu'en 1973, du côté de lou Reed (transformer) voire Roxy music (for your pleasure)...autant dire très Glam, avec des titres comme qu'est-ce qu'on va faire de toi, fille à problème, bordel..., qui choisit Radical Production comme tourneur (le tourneur indé n°1, à qui vous devez vos plus belles soirées, sans doute sans le savoir), qui publie un album en pleines giboulées de mars, mais que je découvre dans l'asphyxie d'un mois d' août orageux, et qui l'intitule Aucun mal ne vous sera fait?
Je ne sais pas.
Sans doute du bien.
En tout cas, je sors d'une phrase bien longue.
je vais m'asseoir un peu.
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