Nous regrettons la disparition de Dennis Hopper, en ce joli mois de mai 2010.
Pour ses films,
ses rôles,
sa gueule tantôt chien battu, tantôt psychopathe,
ses photos.
On passera rapidement sur ses choix politiques (soutient de Ronald Reagan, Bush père et fils...un républicain fidèle, en somme).
Nul n'est parfait.
Et c'est justement dans l'ambiguïté, les imperfections, les dérapages, les mauvais choix, l'éventail complet des travers humains qu'il savait si bien incarner à l'écran, qu'il était le meilleur. Et qu'il va manquer.
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