mercredi, mars 02, 2016
Johnny sois bon
Il ne suffit pas d'avoir fréquenté The Libertines,
de posséder le 06 de Kirsten Dunst,
ou de taquiner les charts Anglais avec son (dispensable) groupe The Razorlight,
pour faire de Johnny Borrell l'homme à suivre.
Bien au contraire.
De bonnes raisons de nous en méfier plutôt.
Mais l'homme est tenace.
Et change de braquet avec une aisance déconcertante,
Puisque, dans une échappée en solo, il crée la surprise,
dépasse ses adversaires,
et emporte l'étape du jour.
Il parvient à m'exciter
les muscles antérieurs droits de chaque jambe,
en un seul titre,
Black God,
quand d'autres, à longueur d'albums, me font tout juste bailler, et ceci depuis des mois.
Il y a de l'arrogance, et du panache chez cet homme là.
et un "je ne sais quoi" de Mike Scott (The Waterboys) dans le lyrisme de l'entreprise.
Et ça n'est pas pour me déplaire.
Je crois même que ça me plaît.
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4 commentaires:
Terribeul ce Borrel !! ;-)
totalement d'accord avec toi...Terribeul!
"Mais l'homme est tenace.
Et change de braquet avec une aisance déconcertante,
Puisque, dans une échappée en solo, il crée la surprise,
dépasse ses adversaires,
et emporte l'étape du jour."
Ahahah tu postules pour un poste de pigiste à "Miroir du Sprint", Blondin est ton modèle. Sinon oui ce gars là il est terrible.
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