Il s'en est passé de belles depuis juillet.
Et pourtant: silence radio.
Mon Blog 96 chéri qui s'éteint à petit feu.
Comme celle qui ne reconnait plus ma voix (et qui m'a pourtant appris mes premiers mots).
Alors, en cette journée commémorative d' un week-end où de nombreuses vies innocentes se sont envolées,
Et parmi elles (mais loin de la terreur qui frappait la capitale) celle qui m'a donné le jour,
je décide d'appuyer à nouveau sur play.
Play blessures, comme disait Bashung (vs Gainsbourg).
Un baume sur nos coeurs.
Un pansement.
Pour reprendre la route.
Un sparadrap de presque 6 minutes
(il fallait bien ça):
Ny Odus & Kamasi Washington,
The Rhythm Changes.
Le rythme doit changer, en effet.
Passons la vitesse supérieure.
Puisqu' il reste de la route.
4 commentaires:
Chouette!Allez allez,bientôt le printemps...ça passe tellement vite!
des pensées vers toi Olivier et celle qui t'a donné je jour....
Kill
Il n'y a plus personne rue Lucien Noirot maintenant, mes amitiés à toi et à ton frère. Juste au dessus, j'en ai connu un de Kill, c'est lui?
Merci Philippe, oui c est bien triste. La rue du stade a définitivement changé de locataires..(et il n y a qu un kill dans cette vallée..et je l embrasse aussi) bizz
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