Dirty Beaches, c'est le blaze d'un drôle d'oiseau, made in Taïwan, tombé du ciel canadien (Montréal) qui nous bombarde de références fifties un rien délurées, ou eighties, mais revival psychobilly minimal (d'Alan Vega aux Cramps en passant par Link Wray pour le jeux de guitare, ou David Lynch pour l'univers sombre qui l'entoure...). On sent le piège, et pourtant, à force d'extraits, on en vient à penser que notre homme est honnête, voire inspiré, toujours franc du collier et seul contre tous. Un digne héritier en somme.
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