Vendredi soir, j'ai branché ma guitare, mon ampli, (et quelques amis au bar..) pour fêter (en fanfare) l'ouverture d'un nouveau café-concert (l' "arrosoir", plutôt pas mal, avec petite scène, et tout, et tout...), dans notre petite ville chérie. Plusieurs formations, Prince Albert, Vincen, le p'tit jézu ont répondu à l'invitation du jour (d'autres suivront le lendemain). Les concerts furent courts et intenses. La bière coula à flots, l'air se raréfia rapidement, pour ne laisser place qu'à un gros nuage opaque. Comme il se doit. Ambiance.
je quittais les lieux vers 23 heures, autant dire en début de soirée. Et je me demandais bien ce qui m'avait poussé dehors si tôt.
le lendemain matin je tombais sur une citation de Nick Tosh (photo): "Pourquoi est-ce que j'écris un bouquin pareil, et pourquoi est-ce que vous le lisez? Qu'est-ce qu'on fout là? On devrait se tirer de ce merdier..."
J'aime bien Nick Tosh.
6 commentaires:
trèèès bien ce Nick !!...
oui...
tirons nous de ce merdier !!!
;-))
tu as oublié de causer de la mystérieuse fille au mystérieux profil !!...
je ne me souviens pas d' une fille
au mystérieux profil (???)
mais était-elle vraiment de profil?
était-ce vraiment une fille??
utilisateur anonyme, dis-moi tout...
ouaye d'accord... mais dans la famille Tosh, Peter n'est pas mal non plus les jours comme ça.
c' est sûr...
(les jours comme ça...)
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