mardi, septembre 18, 2012

le grand amour

Big love. En effet. Cet ours, Matthew E. White, venu d'on ne sait où, débarque en ville avec un savoir faire (et donc, un album) à faire pâlir d'envie ceux qui depuis des lustres s'escriment à dépoussiérer l'ennuyeux paysage musical actuel, avec de vieilles recettes qui ne trompent personne. De l'esbroufe.  Lui a trouvé la recette. Le graal. La pierre philosophale. L'alambic dans lequel tout ce qu'on croyait connaître se révèle, mélangé avec ce "je ne sais quoi" d'habileté, brillant comme un saphir! A parier qu'on en reparlera bientôt. D'ici là, pour manifester notre sympathie, laissons-nous pousser la barbe. La moustache c'est déjà fait.




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