mercredi, janvier 20, 2016

Nous l'avons tant aimé.

Ettore Scola
(mai 1931-janvier 2016)


décidément,

une époque affreuse 
sale 
et méchante!

vendredi, janvier 15, 2016

TNT


Une année qui commence
avec perte et fracas
par la disparition d'un ange,
d' un modèle,
d' un archétype
du rock seventies,
quand il devient complexe, raffiné et théâtral.
David Bowie, le regretté, participa,
entre autre (bien sûr...),
activement,
et avec quel panache,
à l'apogée d'un genre discret devenu majeur sous ses doigts,
le Glam Rock.
Au début des années 70,  Il emboita le pas de son ami Marc Bolan sur cette scène peuplée de dandies en équilibre sur platform shoes,
pour développer ce rock sophistiqué (chanté, à la même époque, par Christophe sur les paradis perdus),
puissant et crâneur.
D'autres étoiles filantes transperceront les hit-parades pour y déposer des poussières soniques et sulfureuses, telles que Slade, Suzi Quatro, ou encore Gary Glitter (le bien nommé, et son redoutable Rock'n Roll part 1 & 2).

Il en est un dont l'histoire ne garde qu'un bien tiède souvenir, car sans doute rangé trop vite sur l'étagère au rayon "chanteur populaire pour jeunes filles pré-pubères" (hum) ,
mais qui pourtant eu l'audace de poser sur les plateaux TV (outre manche, dès 1973), un tube immense, au son puissant (ces premières notes!),  au rythme tendu et prodigieusement lent, qui invite davantage l'auditeur (auditrice, donc) à se pâmer devant ce Dorian Gray à paillettes, plutôt qu'à envahir le dance floor.
Son nom: David Essex (hum, hum).
Son forfait: Rock On.





Plus que jamais d'actualité car Tortoise,
les héros du post rock from Chicago,
nous gratifient d'une reprise plus qu'honorable
(et pourtant sans l'ombre d'une guitare)
sur leur nouvel album (the Catastrophist, à paraître ce mois-ci)
La boucle est bouclée.
La nouvelle année peut (bien) commencer.