lundi, février 19, 2018

Jeunes pousses




































Boy Azooga.
A peine démoulés
(Deux singles à ma connaissance).
Ils sont originaires de Cardiff (Angleterre),
citent Sly & the family stones,
Black Sabbath ou encore les Beastie Boys comme influences,
ont signé sur Heavenly Recors (label de Baxter Dury ou King Gizzard).
On ne s'étonne donc pas qu'ils s'amusent à brouiller les pistes,
comme personne avant eux, en si peu de temps.
Le chanteur affiche un large sourire sur les photos.
Toujours.
Etrange.

le premier single clamait son amour pour les filles qui fument (trop),
sur un funky beat rétro-synthétique jouissif: Face behind her Cigarette.

Le second titre, une météorite d' à peine 2mn, change de propos, mais surtout de forme.
Ils rejoignent ceux qui, comme eux,  ont tapé sur des bambous pour être numéro 1:
une rythmique endiablée, en intro, qui évoquera (de loin) l'impeccable Rock'n Roll Part 1,
d'un certain Garry Glitter,
ou (de près) le "jungle beat" du grand Bo Diddley.

Deux salles.
Deux ambiances.
Mon choix est fait.
Ce Loner Boogie fera bien mon lundi.
Puisqu'aucune fille, aucune cigarette, alentour.